Très Bonne Année 2020 !
Saluons les bonnes nouvelles & nos réussites !
Très belle année à vous !

Cliquez ICI pour lancer la vidéo.
Cliquez ICI pour lancer la vidéo.
Cet article fait suite à la visite officielle de Mme Emmanuelle Wargon, Secrétaire d’Etat auprès de la Ministre de la Transition écologique et solidaire (27 août 2019). Il a pour thème : la rénovation énergétique des bâtiments dans le cadre de la mobilisation pour l’emploi et les transitions.
C’est avec l’objectif de rendre les choix de la transition écologique possible pour tous et dans tous les territoires qu’Emmanuelle WARGON, s’est rendue en Occitanie.
Pendant 3 jours, en rencontrant les acteurs et élus locaux dans 4 départements, Mme Wargon a souhaité dialoguer et entendre les habitants et toutes les parties prenantes en matière de transition écologique. Le but affirmé étant de co-construire des solutions adaptées et non pas d’imposer des systèmes inefficaces et inapplicables.
Les discussions ont donc porté sur des thèmes très concrets et Mme Wargon a assuré que des réponses seraient réfléchies de manière différente d’une Région à une autre car chaque Région est différente. Elle a également réaffirmé son souhait d’aboutir à une contractualisation avec les collectivités territoriales.
Tous les acteurs se sont accordés sur le fait que le système fonctionnait bien mais qu’une marge de progression était encore possible comme la simplification du système des aides à la rénovation des bâtiments.
Fort de son diagnostic, 3 écueils ont été relevés et vont donc avoir toute l’attention du Ministère :
Les financements sont une clé importante mais les partenaires le sont aussi. Il faut faire converger les dispositifs pour les rendre plus efficients.
Rappelons quelques chiffres :
Les différents acteurs s’accordent sur le point qu’un système plus simple et une clarification de la place de chacun jumelée à une meilleure coordination, reste la clé.
En effet, chaque guichet a sa logique et par conséquent il existe différents parcours de rénovation. Les aides proposées doivent être complémentaires et les agents doivent veiller à la crédibilité de la démarche de certification des artisans tout en ayant un regard critique sur le dumping engendré par la dite certification car il ne faut pas installer des pompes à chaleur dans des passoires thermiques.
Selon l’ADEME, tout le monde joue bien son rôle en Occitanie. Les 22 000 ménages conseillés par an en attestent mais cela reste insuffisant. C’est pourquoi, il est proposé 3 actions :
Et Mme WARGON de conclure : l’Occitanie a de l’ambition en matière de transition écologique et a la chance d’avoir des acteurs engagés. Cependant des marges de progrès existent. Le travail doit être fait avec méthodologie :
C’est ensemble que l’on pourra progresser, en se fixant des objectifs communs :
Le rendez-vous est pris, le 30 octobre, afin de délivrer le message commun pour l’Occitanie.
Après le vote sur la confiance dans la vie politique, et en parallèle du chantier institutionnel annoncé par le Président de la République cet été, François de Rugy, président de l’Assemblée nationale, a présenté les « Rendez-vous des réformes 2017-2022 », un processus de réformes profondes pour construire une nouvelle Assemblée nationale et rendre l’institution plus démocratique, plus transparente, plus efficace et plus moderne.
Pour mener à bien cette réforme, sept groupes de travail sont constitués sur les thématiques suivantes :
Composés de dix députés issus de chacun des groupes politiques à l’Assemblée nationale, ces groupes de travail rendront leurs conclusions tous les six mois. Après arbitrage du bureau de l’Assemblée nationale, leur réflexion pourra se traduire par le dépôt de propositions de loi ou d’amendements aux projets de loi à venir, et notamment au projet de réforme constitutionnelle.
Voir la vidéo de la conférence de presse : regardez la vidéo
Accéder au dossier de presse : cliquez ici
Le programme de transformation Action publique 2022 (AP2022) répond à une ambition gouvernementale portée au plus haut par le Président de la République et le Premier ministre afin de transformer l’action publique au-delà de la réforme de l’Etat.
Le programme poursuit trois objectifs :
La démarche AP2022 se distingue des précédents programmes de réforme (RGPP, MAP) par un travail imbriqué et un dialogue constant et constructif entre les comités et les ministères. Elle raisonne également en dehors du cadre : comparaisons internationales, analyse des nouveaux modèles apportés par le numérique, méthodes issues du design pour mettre le citoyen et l’entreprise au centre des réflexions, etc.).
Le 30 janvier 2018, nous avons voté, à une très large majorité, pour le projet de loi pour un Etat au service d’une société de confiance qui introduit la notion de « droit à l’erreur ».
En effet, un usager qui se trompera dans ses déclarations à l’administration n’encourra pas de sanction lors de la première erreur si elle est commise de bonne foi. Ce sera à l’administration de démontrer la mauvaise foi de l’usager. Dans une optique de simplification et de modernisation, le projet de loi permet de passer d’une administration qui sanctionne à une administration qui conseille et accompagne. Dès le dépôt du texte à l’Assemblée nationale, une commission spéciale a été créée afin de permettre aux députés de toutes les commissions de contribuer à l’alimenter et à l’améliorer. Au sein de cette commission, j’ai pu interroger Thomas Cazenave, délégué interministériel à la transformation publique (regardez la vidéo) et Jean-Pierre Duport, ancien Préfet (regardez la vidéo).
Parmi les nombreuses mesures engagées, on notera :
J’ai soutenu plus particulièrement des dispositions concernant les quartiers prioritaires de la politique de la ville et j’ai appelé à une grande mobilisation citoyenne autour des services publics dans ces quartiers (regardez la vidéo).
Engagement fort de campagne, cette loi sur le droit à l’erreur est la première pierre du programme « Action publique 2022 ». Pour pouvoir réaliser effectivement ce changement de culture dans les relations entre l’administration et ses usagers et recréer un lien de confiance, 1,5 Md € seront consacrés pendant tout le quinquennat à la formation des agents publics.
Le 30 janvier 2018, nous avons voté à une très large majorité pour le projet de loi pour un Etat au service d’une société de confiance.
A l’occasion de ce texte, j’ai soutenu plus particulièrement des dispositions concernant les quartiers prioritaires de la politique de la ville et j’ai appelé à une grande mobilisation citoyenne autour des services publics dans ces quartiers.